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Une multitudes de chroniques historiques sur les 4 époques de l'Histoire, que ce soit ancienne, médiévale, moderne ou contemporaine. On y trouve des chroniques sur les hommes et les femmes qui ont fait l'Histoire, les événements marquants au plus insolites....

Le droit de faide ou la lutte fratricide sous l'époque Mérovingienne

Le droit de faide sous l'époque Mérovingienne

 

                            L’époque mérovingienne s’étend du Ve siècle au milieu du VIIIe siècle et est une période souvent qualifiée de sombre, de sauvage alors que c’est la dynastie mérovingienne qui permet le basculement d’un royaume barbare disparate à un royaume de France. C’est donc entre 470 et 750 que le regnum francorum naît et que la caractéristique de « barbare » accolé aux peuples qui le composent disparaît peu à peu. De ce changement naît l’institutionnalisation de la justice et la rédaction des lois.

Ce royaume est caractérisé par la juxtaposition de deux peuples, le peuple romain et le peuple barbare.

La Gaule sous Clovis avant les conquêtes

Ce peuple barbare qui est lui-même composé d’une multitude de peuple que sont les Alamans, les Wisigoths (actuel Espagne et Pays-Basque), les Francs Rhénans, les Francs Saliens, le royaume de Syagrius, les Burgondes. C’est à Clovis que l’on doit la réunification de ces peuples sous l’étendard Franc à la suite des batailles de Soissons (royaume de Syagrius), la bataille de Tolbiac (royaume des Alamans), la bataille de Vouillé (royaume des Wisigoths). Malgré l’unité du territoire sous Clovis, il doit apprendre à cohabiter avec un autre peuple, celui de Rome. La cohabitation va se traduire par une homogénéité de plus en plus forte concernant leur droit. Tandis que le droit civil reste propre à chacun, le droit pénal barbare va peu à peu se romaniser.

Ce droit pénal repose sur deux principes, l’indemnisation et la répression. Dans le premier cas, le différend pénal donne lieu à un règlement privé de type indemnitaire, c’est la poena dans l’ancien droit romain ou les compositions pécuniaires des lois germaniques ; mais dans le second cas, l’infraction est sanctionnée par une peine, un châtiment comme la mort. La peine est justement cette contrepartie juridique de tout crime ou délit commis dans toute société humaine organisée, depuis l’antiquité à nos jours.

Si cette répression a longtemps été présente sur le territoire gaulois, c’est en raison de la faiblesse de l’Etat et des rapports sociaux entre individu. En effet, l’Etat n’était pas encore constitué comme on le connaît aujourd’hui et aucune famille ne fédérait encore autour d’elle un peuple tout entier. Sous l’époque mérovingienne, le pouvoir royal franc n’est donc pas institué et il dépend de l’autorité (souvent militaire) du roi en place. S’il est faible, le pouvoir est faible tout comme la justice royale. De plus, la répression a pour autres causes les rapports sociaux. Ces derniers étaient primordiaux pour survivre ainsi la norme sociale de réciprocité est au cœur des échanges. Autrement dit, les gens répondent donc les uns envers les autres et défendent leurs proches, parfois jusqu’à la mort.

Ainsi, « la faiblesse de l'État dans les sociétés du haut Moyen Âge fait du système de réciprocité le moteur des relations sociales, tandis que l'honneur détermine les comportements individuels et collectifs, à travers un système de communication symbolique qu'expriment rites et rituels. Les sociétés d'honneur sont des sociétés violentes et le rôle des autorités centrales, quand elles existent, consiste à contrôler les mécanismes de l'échange, par le biais de la loi et de la justice, pour empêcher le déclenchement de la vengeance et imposer la paix, c'est-à-dire pour déterminer le champ de la violence légitime et celui de la violence illégitime »[1]. C’est donc pour palier une caractéristique fondamentale mais dangereuse de l’époque mérovingienne, qu’est la réciprocité, que le royaume se dote de lois qui réglementent les compositions en cas de délit et de crime.

En effet, avant l’époque où ces lois furent rédigées, la barbarie des temps et l’inefficacité de la police royale faisaient considérer aux Francs la vengeance entre particuliers, comme étant de droit naturel. Aussi, les premiers législateurs des Francs, pour prévenir les désordres qu’occasionnaient ces vengeances particulières, fixèrent un tarif de toutes les injures et de tous les crimes ; c’était, pour ainsi dire, le prix de la vengeance. Ce prix une fois payé, il n’y avait plus de crime punissable.

Le Haut-Moyen Age connaît alors le passage d’une justice vengeresse fondée sur le sang et l’honneur à préserver, à une justice de peine qui s’inscrit dans un mouvement d’évitement des conflits et des différends inter-humains, ainsi que celui de la pacification sociale. Finalement, l’époque mérovingienne va voir se constituer sur la base d’une substitution, celle de  « la pratique primitive de composition privée  à un appareil perfectionné de répression publique». [2]

 

Comment sommes-nous passés d'une justice vengeresse à une justice institutionnalisée fondée sur la peine ?

 

Le droit de faide ou de vengeance : une justice archaïque...

A) La faide comme seul moyen de régler ses conflits avec honneur

L’Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers de 1760 donne une définition de la faide. Elle signifie inimité (autrement dit aversion, hostilité à l’égard de quelqu’un), mais aussi une guerre déclarée entre deux ou plusieurs personnes. On entend aussi par faide, celui qui c’était déclaré ennemi capital. Mais c’est avant tout le droit que les barbares donnent à quelqu’un de tirer vengeance de la mort d’un proche ou parent. Un droit qui s’appliquera du Ve siècle au XVe partout en Occident. Ce désordre régresse tout de même à partir du XII siècle quand est né l’arsenal juridique qui définit les délits et les peines. Mais avant cela, la vengeance est un droit, le droit de faide. Etant un droit, c’est un phénomène de civilisation qui obéit à des règles et qui constitue un mode de règlement des conflits.

Mais pourquoi un mode de règlement des conflits privilégié ? L’utilisation de la faide est un processus social qui fait écho à deux caractéristiques centrales du Moyen-Age :

  • Le lien du sang. Le lien du sang car, le rôle de l’hérédité étant primordial, il faut la défendre. Ainsi, une attaque à l’encontre d’une personne de même sang peut justifier une faide.
  • L’honneur. L’époque mérovingienne et médiévale en général reposent sur une société d’honneur dont la vengeance est louée. Autrement dit, dès lors qu’une personne attaque un membre de ma famille ou insulte celle-ci, la fama (la renommée) est mise en péril et mérite d’être vengée.

Bien évidemment, toute hostilité n’était pas qualifiée de faide, il fallait qu’elle soit capitale et qu’il y ait déclaration de guerre. Cela arrive généralement à la suite d’un homicide car, suivant les lois des Germains et autres peuples du Nord, toute la famille du meurtrier était obligée d’en poursuivre la vengeance.

Cette vengeance privée dispose d’un fondement, le principe de la loi du Talion. Autrement dit, le traitement du Talion est la vengeance naturelle, ainsi la justice traite le coupable de la même manière qu’il a traité les autres. Pourtant, cette loi du Talion connaît des critiques notamment par Grotius qui l’a considère comme une loi barbare et contraire au droit naturel. Il considère qu’elle ne doit pas avoir lieu car, citant Aristide « ne serait-il pas absurde de justifier et d’imiter ce que l’on condamne en autrui comme une mauvaise action ? ».

MAIS QUI SE VENGE ? Tout le monde dispose du droit de vengeance privée, que ce soient les nobles, les non nobles et bien évidemment la famille royale (d’où la faide royale). Il suffit qu’un meurtre ait lieu au sein d’un clan ait été commis par une famille rivale pour que le droit se mette en place. Il suffit que vous ayez un lien avec les protagonistes de la vengeance pour risquer vous-même d’en faire les frais. Car oui, toute la famille, mais aussi les proches, les amis participent à cette vengeance. C’est ainsi que la société médiévale se divise en groupe, en clan rivaux.  Ce n’est qu’à partir du XIII que les tribunaux désormais bien organisés écartent la vengeance qui se couvre du voile judiciaire (dénonciation et justice).

Ceci dit, la vengeance peut prendre fin lorsque les parents ou les amis du vengeur demandent « pardon » au camp adversaire » à condition que l’homicide offre un dédommagement matériel (un certain nombre de bête). Ce droit de faide pouvait donc tomber dans l’oubli pour seule cause de réparation. Cette réparation se construit sur le principe de la composition ou « wehrgeld » soit « somme d’argent ». L’encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers dans son tome 17 définit ce wergeld comme le « nom de l’amende qu’on payait dans le cas du meurtre. Le roi en avait une part, pour le dédommager du désordre fait et de la perte d’un de ses sujets. Le seigneur en avait une autre partie pour les mêmes raisons. La famille du mort avait le troisième tiers. Si le délinquant ne satisfait pas, sa vie était entre les mains de la famille du mort, qui était le vengeur du sang »[3]

 

Ce pardon se conçoit comme le rachat de la vengeance, « le prix du sang » ou plus exactement le prix du renoncement à la vengeance. Cette formule de composition va faire rapidement l’objet d’une formalisation juridique puisque les lois vont en inventorier le contenu.

La loi en fixe donc le montant dont une partie est versée au trésor royal. En effet, les ayants-droits de la victime ne touchaient pas la totalité du wergeld, puisqu’un tiers était dû au roi en tant qu’amende et atteinte à l’ordre public. De plus, le wergeld est réparti entre les fils de la victime et ses proches. Le montant du wergeld varie en fonction du peuple auquel on appartient, du statut ou du niveau social de la victime. Dans une société comme celle des mérovingiens où coexiste deux catégories de personnes, les esclaves et les hommes libres, l’application de la LOI n’est pas la même pour l’un ou pour l’autre. Les esclaves sont exclus des dispositions de cette dernière par leur caractère de « bien meuble ».

Le montant de cette composition peut atteindre des sommes particulièrement importantes. Pour exemple, 50 000 pièces d’or payées par les Wisigoths pour avoir assassiné une nièce de Clovis, 4 000 pièces d’or exigés d’un archidiacre par le gouverneur de Marseille pour détournement de stock huile… etc.

Cependant, si le meurtrier ne peut pas payer, ça sera sa famille qui portera la responsabilité de fournir le montant de la composition. Le coupable peut donc transmettre la dette à sa famille, c’est ce que l’on appelle le chrenecruda. Ce chrenecruda repose sur une procédure particulière décrite par la loi salique dans son article 58 mais qui ne restera pas longtemps en vigueur.

Alors comment ça se passe ? « Le meurtrier entouré de douze cojureurs fait serment qu’il ne possède rien nec super terram nec subtus terram et il lance alors des poignées de terre aux quatre coins de sa demeure puis saute la haie qui l’entoure, remettant la charge de la composition à sa famille »[4].

Finalement, la faide est le processus de violence qui répond par de la violence, en entraînant tout son entourage qui par l’atteinte portée par un de ses membres, a le devoir de le venger. C’est ce que l’on peut appeler un cercle vicieux où chaque mort est une raison de plus pour se venger et tuer à son tour.

B) L’épisode sanglant au sein de la famille royale mérovingienne

Avant de parler de l’épisode de la faide royale, il faut comprendre que la royauté dispose d’un caractère patrimonial. Autrement dit, la dynastie mérovingienne développe l’idée selon laquelle le pouvoir se transmet de façon patrimoniale. Le royaume est la chose privée du roi (res privata). La transmission du royaume est donc réglée par le droit privé de la succession. On assimile le pouvoir au cas des alleux qui sont des terres possédées en toute propriété par une famille héréditaire. Or la loi salique (loi des Francs) dispose que ces alleux sont transmis de mâle en mâle, à égalité entre les descendants. Ainsi, le pouvoir est transmis de la même façon pour chacun des héritiers, conduisant à un partage du territoire entre fils de roi, et de ce fait à des rivalités certaines entre eux.

Généalogie des Mérovingiens

Ainsi, une fois le roi décédé, le territoire se découpe en royaumes créant des conflits fratricides. En effet, Clotaire Ier, fils de Clovis qui parvient à unifier le royaume meurt en 561. Le partage du royaume se fait entre ses quatre fils :

  • Sigebert 1er hérite de l’Est des régions germaniques au-delà du Rhin, c’est l’Austrasie
  • Chilpéric hérite de la Neustrie du Nord avec pour capitale Soisson
  • Charibert hérite de la Neustrie de l’Ouest avec pour capitale Paris
  • Gontran hérite de la Bourgogne.

Les quatre nouveaux rois ne sont pas soumis à une hiérarchisation (aucun ne domine sur les autres), ainsi le royaume des Francs est en perpétuel guerre civile entre ces différents rois puisqu’ils cherchent tous à unifier le royaume sous son propre étendard. Pour cela, ils n’hésitent pas à utiliser la force, le droit de faide.

En effet, à l’époque mérovingienne, la puissance du roi était caractéristique de sa puissance militaire et personnelle. C’est une société reposant sur de vrai rapport de force. « Les meurtres nombreux qui émaillent l’histoire de la famille mérovingienne sont le corollaire d’un système de succession qui induit une forte compétition entre les héritiers »[5] précise Sylvie Joye. Si les conflits au moment de la succession royale opposent les grandes familles aristocratiques dans la plupart des royaumes barbares, chez les Francs, ceux-ci surgissent à l’intérieur même de la famille mérovingienne. C’est ce que l’on appelle la faide royale.

À la fin du VIe siècle, Grégoire de Tours raconte notamment plusieurs cas récents de faida pure et simple. Il est clair que dans la mentalité franque la voie des armes restaient plus honorable que celle de la composition légale : « Si je ne venge pas mes parents tués, on ne m’appellera plus un homme, mais une faible femme ! »[6] écrira-t-il.

C’est ainsi qu’à lieu la faide royale de 575 à 613. La faide royale est donc une période durant laquelle deux frères (plutôt demi-frère), tous les deux rois et leur épouse, s’affrontent. Les tensions entre Sigebert Ier et Chilpéric Ier débutent lors du partage du royaume à la mort de leur père Clotaire Ier. Mais cette rivalité sera accentuée par le mariage de Sigebert avec Brunehaut, une riche princesse wisigothique. Chilpéric décide de faire de même en épousant Galswinthe, sœur de Brunehaut après avoir écarté sa première femme, Audovère, afin de récupérer sa dot et de concurrencer son frère.  Cependant, Frédégonde, servante et concubine de Chilpéric voit d’un mauvais œil l’arrivée de cette nouvelle reine. Ainsi, elle l’a fait assassiner vers 570. Chilpéric alors l’épouse et celle-ci devient reine de Neustrie.

L’élément déclencheur de la vengeance sera le meurtre de Galswinthe puisque Frédégonde, nouvelle reine a tué la sœur de la femme du roi d’Austrasie. La faide s’enclenche et cela va participer à l’affaiblissement du royaume mérovingien pendant plus de 30 ans, jusqu’à sa chute. 

La lutte entre Frédégonde et Brunehaut

Ainsi Sigebert se fit élire par les leudes de Chilpéric qui réplique en l’assassinant en 575 à Vitry-en Artois. Sigebert n’avait qu’un fils, Childebert II qui devient roi d’Austrasie. Brunehaut, dans l’espoir de protéger son fils demande à Gontran, roi de Bourgogne d’adopter Childebert, ce qu’il fit. Lorsque Chilpéric meurt en 584, Frédégonde demande à Gontran de devenir parrain de Clotaire II son fils (après avoir assassiné le fils de son mari Clovis qu’elle accuse d’être responsable de la mort de ces trois premiers fils). Gontran se trouve arbitre de deux neveux manipulés par leur mère.

C’est dans ce contexte que le traité d’Andelot aura lieu et apaisera quelques tensions car, il permet de régler la question du propriétaire de la dot de Galswinthe et reconnaît Childebert II comme héritier de Gontran. Lorsque ce dernier meurt en 592, Childebert II est alors roi de Bourgogne et d’Austrasie.

A sa mort, son royaume est divisé en deux entre ses deux fils=

  • Théodebert II roi d’Austrasie
  • Thierry II roi de Bourgogne

Encore mineurs, ils sont placés sont la tutelle de leur grand-mère Brunehaut. Or, on sait qu’une régence est toujours plus instable, ainsi, Clotaire II de Neustrie se renforce au détriment des deux jeunes rois. Thierry finalement destitue son frère Théodebert et le tue, tout comme son unique fils. IL NE RESTE PLUS QUE THIERRY ET CLOTAIRE.

Une faction aristocratique austrasienne guidée par Arnould et Pépin fait appel à Clotaire II pour lutter contre Thierry et Brunehaut. Le roi de Neustrie sort vainqueur et tue Thierry et ses fils. Par la suite, il fait assassiner Brunehaut et la rend responsable de nombreux régicide. 

Cette faide royale débute par la mort de Galswinthe et se traduit par une rivalité entre frères, entre oncle et neveu et entre belle-sœur. Finalement, la famille se déchire en raison des deux femmes, Brunehaut et Frédégonde qui chercheront par tous les moyens à privilégier leurs enfants et petits-enfants.

Mort de Brunehaut

Grégoire de Tours écrira au sujet de la faide royale, il la décrivit notamment comme une désolation qui aboutit à l’affaiblissement des mérovingiens. « il me répugne de rappeler les vicissitudes des guerres civiles qui épuisent fort la nation et le royaume des Francs. Nous y voyons déjà, ce qui est pis, arriver ce temps dont le Seigneur a prédit qu’il serait « le commencement des douleurs » : « le père se dressera contre le fils, le fils contre le père, le frère contre le frère, le prochain contre le prochain ». Ils devaient en effet, être effrayés par les exemples des rois précédents qui, sitôt qu’ils ont été divisés, ont été tués par les ennemis ».[7]

CONCLUSION :

La vengeance privée, première manifestation d’une justice barbare va considérablement affaiblir le royaume en raison des rivalités entre clans et famille. La gestion des conflits est intimement liée au maintien de la paix publique, les mécanismes judiciaires servant à rétablir les équilibres rompus en contrôlant la violence. Et c’est pour y mettre fin que la justice va prendre un caractère organique. La justice est donc tout naturellement au cœur du programme idéologique que les clercs ont assigné à Clovis, Clotaire, Charlemagne et à ses successeurs.

Cela se voit au travers de de l’affaiblissement de la vengeance privée qui va acquérir peu à peu la caractéristique de privilège, privilège social réservé aux nobles. Philippe de Beaumanoir l’affirme à la fin du XIIIe siècle dans « Les coutumes de Beauvaisis », en excluant les non nobles du privilège des guerres privées.

 

 

[1] Le Jan, Régine. « Chapitre 11 - Échange, honneur et ordre social », , La société du haut Moyen Âge. VIe-IXe siècle, sous la direction de Le Jan Régine. Armand Colin, 2003, pp. 258-284.

[2] Ioannis S Papadopoulos, La peine de mort, Droit, Histoire, Anthropologie, Philosophie, 2000

[3]  Diderot, Alembert, Jean le Rond, Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, t.17, 1771

 

[4] Jean-Marie Thiveaud, Droit, économie, monnaie, finances dans le regnum Francorum. Petite chronique des temps mérovingiens, 1996

[5] Joye, Sylvie. « Chapitre 6. Extension et division du Regnum Francorum (511-613) », L'Europe barbare. 476-714, sous la direction de Joye Sylvie. Armand Colin, 2019, pp. 139-155.

[6] Grégoire de Tours, Histoire des Francs

[7] Grégoire de Tours, Histoire des Francs, V, 1-3, éd. et trad R. Latouche, Paris, Les Belles Lettres, 1963, pp245-246

 

 

 

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